Quelques minutes avec… Jérémy Fontanet

Jérémy Fontanet incarnera Simba adulte à Mogador à partir d’octobre prochain. Le 23 avril, il a interprété quelques versions françaises des chants du Roi Lion devant un public de journalistes. Le Rapport du Matin l’a questionné à sa sortie de scène.

Vous venez de créer l’interprétation de la version française, qu’est-ce que cela fait d’avoir été choisi pour cela ?

Jérémy Fontanet : Je suis très fier de faire partie de l’équipe original, vraiment très content.

Vous aviez un public pour la première fois, ça change quelque chose ?

Jérémy Fontanet : Ça donne un certain stress, un peu d’adréaline et c’est bon.

Et maintenant…?

Jérémy Fontanet : Le single va sortir prochainement, les répétitions commencent cet été, et le spectacle est prévu le 4 octobre.

Alors merci, et bonne préparation !

Quelques minutes avec… Léah

Léah interprétera Nala à Paris, elle a bien voulu répondre à quelques questions.

Bonjour Léah, quelle est votre expérience de la scène ?

Léah : Je chante du gospel depuis l’âge de 3 ans et demi, quelques comédies musicales, au lycée, j’ai étudié à l’Opéra. Mais c’est vrai que c’est mon premier musical Broadway, et c’est un rêve qui se réalise ! Je n’ai plus besoin d’aller à New-York, je l’ai à Paris !

Pourquoi avoir passé l’audition ?

Léah : C’était un rêve d’enfance. C’est vrai que les auditions avaient déjà commencé mais je me suis dit : « je vais tout faire pour y arriver, pour essayer d’être la Nala dont ils ont besoin. »

Vous aviez-vu le musical Le Roi Lion ?

Léah : Non, je ne l’avais pas vu, maintenant j’ai vu une partie sur DVD et bientôt je m’envole pour Londres pour aller le voir.

Et le rôle, le personnage par rapport à vous ?

Léah : C’est une jeune lionne, je suis une jeune femme. Elle est battante, moi aussi. En plus, elle est un peu coquine, un peu marrante… on se ressemble, je me retrouve dans elle.

Et côté répétitions, vous avez commencé ?

Léah : Non pas officiellement, évidemment je m’entraîne, je fais du sport, et je prépare mes cordes vocales aussi ! Il faut être en forme, le rôle demandera beaucoup chaque soir.

La comédie, la danse, ça ne vous fait pas peur ?

Léah : Je ne m’inquiète pas, j’aime jouer la comédie. Et les répétitions servent à cela : à apprendre encore plus et à progresser. Et nous avons les bonnes personnes qui nous entourent.

Aujourd’hui, vous êtes prête et partante, donc ?

Léah : Oh oui, je suis positive, ça va être super ! Venez. C’est ce que je dis à tout le monde, « venez » car c’est super d’avoir un musical Broadway à Paris avec des artistes français ! Ça va être fabuleux, vraiment !

Au Rapport du Matin, on n’en doute pas ! Merci et à bientôt donc !

Quelques minutes avec… Stéphane Laporte

Le Rapport du Matin a pu rencontrer les créateurs du musical Le Roi Lion à Mogador. Chaque lundi, nous passerons quelques minutes avec une personnalité. Nous commençons avec Stéphane Laporte adaptateur-traducteur de la version française.

Le Rapport du Matin : Stéphane Laporte, bonjour. La première remarque, la première crainte des français sur l’arrivée du Roi Lion à Paris est l’adaptation française. Un énorme poids repose sur vos épaules ?

Stéphane Laporte : C’est vrai que c’est une responsabilité et il m’appartient que les gens aient l’impression d’entendre, non pas une traduction, mais quelque chose qui a été écrit directement en français. Le plus beau compliment qu’on puisse me faire, c’est de me dire qu’on n’a pas eu l’impression d’écouter une traduction.

LRDM : Pour les chansons présentes dans le film, vous les reprenez entièrement ?

SL : Oui, totalement, d’ailleurs je n’ai pas vu le film ! Je l’ai fait exprès… Donc s’il y a des choses qui sont semblables, c’est pure coincidence.

LRDM : Quand vous traduisez les chansons, et donc des parties qui sont généralement en vers, est-ce que vous essayez de retrouver ces vers ?

SL : Tout à fait, je suis très à cheval là-dessus. Le schéma des rimes, – je ne parle pas des terminaisons – la structure des rimes doit être pour moi exactement la même que l’original. Personne ne sait mieux que le parolier d’origine comment faire rimer les chansons.

LRDM : Beaucoup de personnes sont intervenues sur la création de l’œuvre et particulièrement sur la musique, est-ce que vous sentez une cohésion totale de l’œuvre ?

SL : Il y a vraiment une cohésion. Il y a beaucoup de chansons qui sont en Zoulou, et qui vont rester en Zoulou évidemment. C’est vrai qu’il y a beaucoup de voix différentes dans le spectacle. Rafiki ne s’exprime pas de la même façon que Simba… que Pumba, etc… A moi de faire en sorte que chaque personnage ait une voix, ait sa voix à lui. Et je pense que la cohésion vient de ces personnages qui s’expriment tous différement mais qui vivent au même endroit, dans le même milieu.

Le showcase du Roi Lion – 4

Applaudit dans le premier numéro « La Chaîne de la vie » (Circle of Life), c’est Zama Magudulela qui interprétera le rôle de Rafiki. Elle est sud-africaine car « Rafiki a toujours été interprété par des chanteurs sud-africains pour des raisons d’authenticité dans les accents des langues et des dialectes ».

Cela fait plus de 3 ans qu’elle interprête Rafiki, d’abord en alternance dans le cast australien, puis dans la tournée à Shangaï, et enfin à Hambourg en Allemagne. En France elle sera l’interprête principale. Rafiki dans le musical est un personnage féminin, elle est narrateur de l’histoire, et c’est surtout l’aide spirituelle de Simba.

Lebo M, lui aussi né en Afrique du Sud, compositeur des musiques additionnelles, est invité sur scène à présenter sa carrière. Récompensé par un Grammy Award, il produit désormais la version sud-africaine du musical qui ouvre en juin 2007 à Johannesburg. « Quelle émotion d’être ici, déclare-t’il, la France est la terre d’amitié de la musique africaine. »

Avec le choeur et Zama, il se prête à l’interprétation a capella de « One by one ». Grand moment d’improvisation en complicité totale avec Zama ! La foule toujours aussi entousiaste rythme le chant en applaudissant !

C’est de nouveau Stéphane Huard, producteur du spectacle, qui revient sur scène pour expliquer essentiellement les travaux effectués en ce moment au Théâtre Mogador. « Il a fallu faire 3 choses, d’abord faire rentrer Le Roi Lion. Nous avons du creuser sous la scène plus de 10 mètres pour trouver les espaces nécessaires pour mettre en place Le Roi Lion. La deuxième chose : les artistes. Nous avons plus de 115 artistes et techniciens tous les jours dans le théâtre, et ceux-ci doivent s’y sentir bien. Nous avons retravaillé les loges, créé des lieux d’accueil… Et puis au final, nos visiteurs. Nous avons beaucoup travaillé sur l’accueil. Nos espaces d’accueil sont multipliés par quatre. »

Et il ajoute « On sera prêt pour…. le 4 octobre 2007. La grande première du Roi Lion au Théâtre Mogador. »

Après avoir remercié les intervenants, les artistes, les équipes techniques du Châtelet et les partenaires, et avant un cocktail clôturant la matinée, il dévoile le single « Il vit en toi » (He lives in you) qui arrivera prochainement dans les bacs. « Il vit en toi, c’est le moment clef du spectacle. » déclaret-il.

Effectivement « He lives in you » est la chanson centrale du musical. Présente dans les deux actes, elle est interprétée dans le premier acte par Mufasa, et dans le deuxième acte par Rafiki et Simba. Elle est le lien entre Mufasa et Simba, elle rappelle à ce dernier son devoir, sa place, son destin, c’est elle qui fait basculer l’action.

La version proposée est la version du deuxième acte (la version dite de reprise). Pour le single elle est interprétée par Mufasa, Rafiki et Simba, dans une sorte de résumé des deux actes, de l’histoire toute entière.

Nous ne connaissons pas encore la date de sortie en bac de ce single, Le Rapport du Matin en parlera dès qu’elle pourra être connue.

L’interprétation est magistrale, majestueuse, et naturelle, on entre dans la mélodie, dans l’histoire. Ceux qui hésitaient sur l’adaptation en français du musical seront surpris… on ne l’entend même pas, la langue française est merveilleusement adaptée, s’intercalant à la perfection dans les parties en langues africaines. C’est étonnant !

En réalité, c’est seulement quand la lumière est tombée sur scène, quand la salle s’est rallumée, et quand le public s’est mis à parler en français, que je me suis aperçu ne pas être dans un pays anglophone !

A la fin de cette présentation, Le Rapport du Matin a pu rencontrer quelques artistes… et vous proposera régulièrement, le lundi, une rubrique intitulée « Quelques minutes avec… ».

Le showcase du Roi Lion – 3

Après l’interprétation de Longue est la nuit, le titre en français de la chanson Endless Night, Jérémy Fontanet se présente en quelques mots. Heureux élu parmi 300 candidats et âgé de seulement 21 ans, il a commencé très tôt le chant gospel et a participé à de nombreux ensembles. Remarqué par l’équipe du casting, il apprécie d’incarner la dualité du personnage de Simba« c’est quelqu’un d’une très grande force mais aussi quelqu’un de très vulnérable ».

A leur suite, c’est Olivier Breitman et Jee-L, respectivement les rôles de Scar et de Mufasa qui sont présentés.

Jee-L est né dans une famille de musiciens, très tôt il commence la musique et du chant. Avec sa voix profonde, il incarnera Mufasa, « le père de Simba, respecté et aimé par toutes les créatures de son royaume. »

Olivier Breitman incarnera Scar. Grand homme de la scène, il est passé comme Julie Taymor, par l’Asie. Il devrait donc sans difficulté comprendre son travail composé des diverses techniques du théâtre oriental.

C’est ensuite Léah qui arrive sur scène. Passionnée de gospel, elle a commencé très tôt le chant et a déjà sorti plusieurs albums. Léah a été choisie pour le rôle de Nala. « Nala, c’est quelqu’un qui est fort, qui va jusqu’au bout et qui s’affirme. » Elle fait remarquer avec justesse que c’est un peu aussi son portrait, son état d’esprit !

Elle interprête alors l’air solo de Nala dans le musical : la chanson Terre de Larmes (Shadowland). Quelle émotion dans sa voix, dans l’interprétation… et dans l’adaptation du texte de cette chanson poignante. La salle applaudit, entousiaste une nouvelle fois.

Le showcase du Roi Lion – 2

Après une première partie en compagnie de Ron Kollen de Disney Theatrical, c’est au tour de l’adaptateur-traducteur en français de présenter son travail. Il s’agit de Stéphane Laporte. Comme pour les acteurs ou les instrumentistes, il a été choisi sur auditions, c’est à dire sur des tests de traduction.

Son travail n’est pas qu’une simple traduction, « c’est une traduction culturelle, si on veut. On ne se contente pas de traduire les mots, on traduit les concepts qui sont quelque fois extrêmement anglo-saxons et on essaie de les rendre le plus français possible. On traduit aussi l’humour, qui dans le cas du Roi Lion est très présent, et les jeux de mots qui sont intraduisibles… ».

Il nous promet des jeux de mots et des adptations francophones spécifiques… La traduction de l’œuvre semble bien avancée, même si des retouches seront sans doute nécessaires jusqu’à la veille de la première !

Il laisse place à la deuxième chanson intitulée « Longue est la nuit » (Endless Night) interprétée par Jérémy Fontanet qui a été choisi pour le rôle de Simba.

L’orchestre (réduit pour l’occasion aux percussions, flûtes et piano) lance les premières notes… Le chœur entame, les premières paroles s’envolent « Seul sous un ciel d’étoiles…» … le public est déjà à Mogador – la magie de la musique et de l’interprétation de Jérémy Fontanet sont suffisantes – et ce malgré l’absence de décor, de costumes, de l’histoire… C’est un grand moment d’émotion !

La salle applaudit, enthousiaste !

Le showcase du Roi Lion – 1

Ce lundi 23 avril 2007, Stéphane Huard, directeur général de Stage Entertainment France, présentait le cast parisien du Roi Lion. Ce ‘showcase’ a eu lieu au Théâtre du Châtelet.

© Sébastien / Le Rapport du Matin

Au delà d’une présentation de quelques CV, cette matinée a été l’occasion de « lever un petit peu le rideau sur le spectacle, 5 mois avant son démarrage. [De] donner le sentiment à travers des producteurs du spectacle, qui vont produire Broadway dans le monde entier, de ce que représente cet événement. [De] parler également, à travers les créateurs, des inspirations du Roi Lion, mais aussi [de] donner pour la première fois la possibilité d’entendre des chansons en français avec les artistes du spectacle. »

Quelques mots sur cet événement :

Vers 11h, les lumières de la salle s’éteignent, le rideau se lève et on entend « Nants’ ngonyama bakithi baba. » Rafiki et le chœur interprètent Le cercle de la vie dans sa nouvelle version française… Le soleil se lève en fond de scène, l’aube fait place au grand jour, la magie est déjà là… L’interprétation de Rafiki est tenu par Zama Magudulela.

Après quelques mots d’introduction, Stéphane Huard laisse la parole à Elisabeth Quin qui animera la matinée. Le Roi Lion nous rappelle t’elle, « c’est tout d’abord un anniversaire. Car Le Roi Lion va fêter ses 10 ans d’existence et ses 35 millions se spectateurs à travers le monde. »

Avant d’accueillir Ron Kollen de Disney Theatrical, elle ajoute que « Le Roi Lion est aussi un événement pour le cœur car c’est un spectacle qui évoque l’humour, la beauté, l’amour et aussi l’acceptation du cycle éternel de la vie. »

Avec Ron Kollen, ils évoquent le travail de Julie Taymor, la metteur en scène et la création du musical Le Roi Lion.

« Au moment même où le dessin animé Le Roi Lion rencontrait un succès sans prédécent en 1994, Disney Theatrical présentait son premier musical à Broadway : La Belle et la Bête. Nous avons alors immédiatement pensé à présenter Le Roi Lion. Mais comment présenter cette œuvre sur scène ? Pas d’homme et des grands espaces de savanes ! »

Julie Taymor a pu répondre, par son parcours et par sa créativité, à ce challenge. Ils ont constitué une équipe et le musical a été présenté en 1997 à New-York. Aujourd’hui ce spectacle est présenté dans de nombreux pays, toujours dans la langue locale.

Après l’aspect visuel, ils abordent la musique. Ron Kollen reprécise la composition musicale du show et surtout la contribution de Lebo M, compositeur sud-africain, qui a donné cette ambiance si spécifique à ce musical.

Cette première partie se termine par la projection d’une sorte de bande annonce.

Et les nominés sont…

Aujourd’hui, au théâtre du Châtelet, Stage Entertainment France a présenté les artistes choisis pour adapter et interpréter Le Roi Lion.

C’est Stéphane Laporte qui adaptera le livret et les chansons.

Pour les comédiens, dans l’ordre d’apparence sur scène, nous connaissons aujourd’hui :

RafikiZama Magudulela
MufasaJee-L
ScarOlivier Breitman
SimbaJérémy Fontanet
NalaLéah
Les artistes principaux du Roi Lion

Nous prendrons bien sûr le temps de parler plus longuement de ce cast dans les jours et les semaines à venir.

Premier extrait sonore ! « Il vit en toi ! »

Vendredi 20 avril à 7h19 sur Europe 1, Laurent Delpech a parlé pendant 2 minutes du Roi Lion et de la présentation à la presse du cast qui aura lieu ce lundi 23. Et nous avons pu entendre quelques notes de la chanson « Il vit en toi » (He lives in you). Quelques extraits de cette présentation :

« Comme à Broadway et dans toutes les autres villes du monde où le spectacle se joue, ils seront 40 sur la scène de Mogador le 4 octobre prochain pour la première du Roi Lion version française. 40 artistes accompagnés de 20 musiciens, et parmi ces comédiens-danseurs-chanteurs, il y a Léah, une jeune interprête de Gospel qui a décroché le premier rôle féminin à l’issu d’un casting très stricte et en plusieurs étapes :

On m’a demandé de chanter, déjà premièrement et après de danser, de jouer la comédie. C’est vrai que dans les castings, on nous demande souvent de donner plus par rapport au personnage. On m’a bien expliqué quel était le personnage de Nala et j’ai retravaillé mes chansons par rapport à ça. Je l’ai fait progresser selon l’intrigue dont ils avaient besoin.

Comme Léah, Jee-L est originaire des Antilles. Comme elle, il a 28 ans et comme elle un CV artistique déjà bien rempli. A Mogador, il incarnera le père du héros, un rôle auquel Jee-L pense déjà beaucoup, alors que les répétitions ne commencent que fin juillet.

Jee-L et Léah étaient au début de la semaine à Arras pour enregistrer le premier single du spectacle. Le disque sortira dans quelques semaines, mais lundi pour la première fois, il le chanteront sur scène devant un public. Ce sera au Théâtre du Châtelet pour la toute première présentation à la presse de quelques extraits de cette comédie musicale événement. »

Cette interview peut être écoutée sur le site d’Europe 1.

J’ai vu Le Roi Lion… – 10

Et pour la 10e édition, c’est Élisabeth qui se prête aux questions de la rubrique hebdomadaire J’ai vu Le Roi Lion…

« J’ai vu Le Roi Lion… à Londres, en 2003.

J’en avais beaucoup entendu parler. De plus, habitant Londres à cette époque, il me semblait inconcevable de ne pas me rendre à un spectacle musical dans cette ville si réputée pour ce type de divertissement.

Un mot pour résumer l’impression générale : Génial ! Un grand spectacle, parfaitement orchestré ; une magnifique musique. Bref, un moment inoubliable!

Les costumes m’ont beaucoup marqué. J’ai trouvé génial la façon dont les hommes sont représentés en bêtes, notamment les girafes, si fragiles au bout de leurs longues pattes, et si élégantes et fines! J’ai été un peu étonnée au début, car on voit bien l’homme qui se cache derrière chaque costume. Et en réalité, cela donne encore plus de magie au spectacle car il faut se donner un regard d’enfant pour imaginer les animaux qui évoluent sur la scène.

Sur la musique, je n’ai qu’un souvenir diffus, mais une impression globale magnifique. Je sais que m’étais demandée ce que serait la musique sans Elton John. Et bien c’était tout aussi beau !

La mise en scène et les chorégraphies étaient superbes, vraiment ! On en a plein les yeux. Avec les costumes, j’ai un souvenir magique des chorégraphies. Une poésie se dégage du spectacle grâce à la chorégraphie élégante. Une vraie faune africaine apparaît devant les yeux et évolue avec grâce.

Les acteurs jouent évidemment très bien et surtout dansent magnifiquement. L’orchestre semble parfait dans son rôle, car on l’oublie, tout captés que l’on est par la chorégraphie et les costumes.

Lorsque je suis allée à ce spectacle, le public m’a paru neutre. Je n’ai aucun souvenir de lui, si ce n’est que la salle était comble et que ce public a semblé comme moi complètement captivé, et donc très respectueux du spectacle.

Une remarque: Allez voir ce spectacle !

Pour la version de Paris, j’y retournerai peut-être. À voir ce que donnent les textes en français… »

Avertissement : cette interview peut ne pas refléter les opinions de la Rédaction du Rapport du Matin.